Bienvenue sur le blog du Plan Communal de Développement de la Nature.
Notre commune est riche en biodiversité! Il nous faut la maintenir et même l'augmenter, par nos actions, notre motivation...
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Les visages du PCDN

Beaucoup d’entre-vous souhaitaient mettre un « visage » sur les principaux acteurs du PCDN, responsables, membres actifs ou sympathisants. Certains acteurs préférant rester anonymes ou limiter les informations les concernant, cette liste est forcément incomplète mais sera actualisée au fil du temps et selon les désirs de chacun. Merci à tous pour leur travail, leur soutien, leur efficacité, ...Si vous souhaitez accéder à la Galerie de portraits, cliquez simplement sur le lien « Portraits », dans la colonne de gauche, sous la rubrique "Un peu de nous...".

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Aube des oiseaux 2019

jeudi 25 avril 2019

Décidément les oiseaux ont la cote en ce début de printemps. Et c'est tant mieux!

En cette saison, les oiseaux se font la cour, les merles défendent leur territoire à pleins poumons, les jeunes quémandent la bectée en piaillant. Pour profiter de ce concert matinal, Natagora organise chaque année l'Aube des Oiseaux : des balades à l'écoute de nos amis à plumes, guidées par des spécialistes.
Cette année, Natagora a choisi d'innover ! On le sait, les oiseaux des milieux agricoles se portent très mal. 65% des espèces sont en déclin. Les populations de Perdrix grise, Bruant proyer, Alouette des champs et autres Cailles des blés subissent de plein fouet l’intensification de l’agriculture. Mais de nombreux agriculteurs réagissent et mettent en place des mesures pour ramener de la biodiversité sur leurs terres. 
Vous trouverez les lieux et programmes de cette journée en cliquant ICI.

Et pour le Namurois, déjà une petite idée ci-dessous :

L'Avenir du 25 avril 2019

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L’éveil des oiseaux, édition 2019

La 3ème édition de notre balade ornithologique a eu lieu ce lundi de Pâques, le 22 avril 2019.
Activité organisée avec le PCDN et les CNB (Cercles des Naturalistes de Belgique) section Namur, Les Sittelles.
Ce fut une superbe balade à l’écoute de la nature et plus spécialement des oiseaux sous la houlette de Guy Denef, notre guide ornitho, très pédagogique. Une vingtaine de fervents amateurs et/ou connaisseurs étaient prêts à découvrir la région et ses trésors.
Itinéraire de la balade
Le « jour » commence plus tôt, en avril ; la durée de la clarté est plus longue, la température est plus agréable : ce sont des signes qui « éveillent les oiseaux, qui se mettent à chanter, à exercer leur voix pour séduire les femelles. La pluie et le vent les empêchent souvent de s’exprimer ; ils restent alors plus silencieux et attendent que la dépression passe.
Mésange charbonnière
Déjà sur l’aire du rassemblement, de nombreux oiseaux nous ont accueillis. La Mésange charbonnière chantait à tue-tête : « plus vite, plus vite, plus vite » alterné avec des « city 2, city 2 » aussi traduit par « ti-ti-tût » en 3 notes.
La difficulté était de bien distinguer les cris des chants. Ces derniers ont surtout lieu à la période de reproduction pour séduire une femelle, défendre un territoire : en général, ce sont les mâles qui chantent…
Ouvrons une petite parenthèse : les oiseaux qui sont parés de très jolies couleurs comme le Bouvreuil pivoine ont un chant très « limité » et les oiseaux de couleurs plus ternes possèdent souvent un chant très riche et mélodieux. Mais il y a des exceptions à toutes les règles, on les apprendra au fur et à mesure des découvertes, que ce soit aujourd’hui ou à d’autres occasions.
Héron cendré
Certains oiseaux comme les mésanges ont énormément de perte de ponte ; c’est la raison pour laquelle elles pondent beaucoup d’œufs et ont plusieurs, 2 voire 3 couvaisons sur une saison. D’autres oiseaux ne pondent qu’un, 2, voire 3 œufs et en prennent grand soin, alternant la surveillance et la nourriture aux oisillons entre le mâle et la femelle.
Canards en vol
Pendant ces explications, deux Hérons cendrés passent au-dessus de nos têtes, tout comme 3 Canards colvert et quelques corvidés : des Choucas des tours reconnaissables à leur tête grise, (l’occasion de parler aussi des Corneilles noires toujours par deux et très fidèles. (les Corbeaux freux par contre vivent en groupe). 
Choucas des tours


Des tourterelles turques chantent leur 3 notes : cette Tourterelle turque provient des pays de l’Est et pas spécialement de Turquie.

Pigeons ramiers
 Le Pigeon ramier glisse 5 notes que l’on peut retenir par cette phrase un peu saccadée : « l’a-mour – pour – tou-jours » C’est l’oiseau que les chasseurs français attendent lors des migrations pour les tirer : là-bas, ils les appellent « palombes »

Pinson des arbres
Puis le Pinson des arbres nous a prouvé,, lui aussi, qu’il savait donner de la voix, reconnaissable à son « ritchi-tchi-tchi non-di-dju »
Que ferions-nous pour reconnaître ces chants d’oiseaux sans ces onomatopées, pour les distinguer quand on est sur le terrain et les retenir par la suite ?
Reconnaître aussi les caractéristiques différentes que sont le rythme, le chant, la mélodie, le cri, est un atout pour retenir les chants.
Rossignol philomèle
Le temps de commencer notre balade et le Rossignol philomèle nous a donné ses plus belles sérénades, la diversité de son chant est inouïe : un orchestre à lui tout seul…mais en avançant, nous nous sommes rendu compte qu’ils étaient nombreux sur ce territoire de buissons massifs, très touffus, leur biotope idéal. La femelle arrive sur le territoire un peu plus tard et lorsque le mâle a enfin trouvé sa dulcinée : il se tait !

Quelques maisons, des jardins, des arbustes et voici le piaillement des Moineaux domestiques qui, bien qu’aimant la vie en colonies, chahutent et se disputent souvent. Plus loin, nous apercevons une Buse variable et deux Geais des chênes.


 
Nous avançons et rejoignons un sentier au milieu de buissons poussant au travers de cailloux d’anciennes carrières et là, c’est le Troglodyte mignon qui nous accueille de son chant puissant : quand on connait la taille de cet oiseau, on se demande comment cela est possible : un chant assez aigu entrecoupé de trilles. Il aime aussi nicher dans le couvert du lierre grimpant.
Le passage rapide d’une Chouette hulotte fut remarqué par certains d’entre nous : un bel hasard car cet oiseau est nocturne : l’a-t-on dérangé sans le vouloir ?
Un peu plus loin, un Pic vert crie ou plutôt « ricane », l’Hirondelle rustique (qui s’appelait auparavant « de cheminée ») passe au-dessus de nous ; la femelle choisit un mâle qui possède de très longs « filets » à la queue. L’Hirondelle de fenêtre ne possède pas ces filets ; elle construit son nid ressemblant à une coupe sous les corniches (ou les toits prolongés) des maisons.  Nous la verrons un peu plus tard dans le village.
Verdier d'Europe
Le Verdier d’Europe chante lui aussi : on dirait qu’il « grince », c’est un de ces cris typiques ; nous l’apercevons au sol, dans un jardin.
Puis nous entendons le Pouillot véloce avec son « tchif, tchaf » reconnu dans plusieurs pays, plusieurs langues. Quant à son cri, il se traduit par : « huit-huit ».
La Fauvette à tête noire a développé ses plus jolies mélodies ; parfois elle lance des cris d’alerte ressemblant à 2 cailloux ou 2 balles de pétanque que l’on cogne l’une sur l’autre.
Son chant est très « flûté », fort et court et arrête de façon nette.


Mésange bleue
La Fauvette babillarde fait « ru-tu-tu-tu » et la Fauvette de jardin babille : on l’entendra très nettement aussi.
La Mésange bleue chante au milieu des autres et arrive à faire entendre ses strophes rapides et répétées.

Merles noirs
Nous apprécions aussi le chant du Merle noir très varié et sonore qui nous réveille le matin très tôt et nous accompagne le soir.



Grive draine
La Grive draine, perchée très haut dans un arbre, lance « une strophe » de ce chant volé au merle et la répète. C’est à cette monotonie ou répétition un peu « tristounet » qu’on peut deviner que c’est une grive et non un merle qui chante. On la verra aussi bien dressée dans un champ.
Rougegorge familier
Le Rouge-gorge familier nous lance sa cascade cristalline, ressemblant à un ruisseau qui coule et plus loin, les Etourneaux sansonnet, de la paille dans le bec pour certains, nous laisse deviner qu’ils préparent leur nid. 
Etourneau sansonnet
On espérait rencontrer le Rouge-queue noir en longeant le cimetière puisqu’il aime y trouver des cavités dans certains monuments pas trop bien entretenus. On le verra plus loin en repassant de l’autre côté du village, guidé par son chant entrecoupé de « papier alu qu’on chiffonne ».

Pigeon biset urbain et Bergeronnette grise
La Bergeronnette grise se pose au sommet d’un toit, puis volète d’un jardin à l’autre. Cette dernière est un oiseau migrateur car essentiellement insectivore alors que la Bergeronnette des ruisseaux, se nourrissant aussi de larves aquatiques, reste chez nous en hiver.
Des Pigeons biset (urbain) (pigeon domestique revenu à l’état sauvage) squattent les toits des maisons autour de l’église.
Accenteur mouchet
L’Accenteur mouchet chante très tôt dans la saison ; c’est aussi un insectivore mais qui s’accommode d’autres mets comme des larves en hiver.
Son chant peut se traduire par « si je suis ici, c’est que je suis assis » que l’on retiendra après l’avoir entendu chanter sur le terrain afin de reconnaître la chanson !

Nid de Pies bavardes
La Pie femelle est très exigeante pour avoir un nid conforme ; en général, le mâle doit en construire plusieurs avant qu’elle en accepte un : il doit avoir « un toit ».
Près d’un bois de sapin, on entend le Roitelet huppé qui vit chez nous toute l’année avec son chant : « tout petit, tout petit je suis ».
(Le Roitelet triple bandeau est un migrateur.)
On entend aussi le Bouvreuil pivoine dont le chant est limité à une note : un « hût, hût ».
Le guide nous explique aussi qu’il existe des points d’écoute visités plusieurs fois chaque saison, aux mêmes heures, par des ornithologues qualifiés qui restent sur place, chrono en main, afin de faire des relevés servant aux statistiques de Aves-Natagora. Cela a aussi permis la création d’un Atlas des oiseaux nicheurs de Wallonie grâce à ce suivi des oiseaux de chez nous.


Grimpereau des jardins
Quant à la campagne « devine qui vient dîner ? », c'est un relevé des fluctuations de chaque espèce de chez nous qui aide à comprendre le pourquoi de la bonne santé comme de la diminution de certaines espèces.
Sittelle torchepot

Le Grimpereau des jardins, au bec pointu de l’oiseau insectivore, nous arrête et attire notre attention par un « je monte au paradis » avec la note finale qui monte. Cet oiseau grimpe le long des troncs pour trouver des insectes et lorsqu’il arrive au sommet, s’envole pour retrouver le pied de l’arbre suivant et il recommence, contrairement à la Sittelle torchepot qui grimpe puis redescend la tête en bas car sa queue sert de 3ème point d’appui. Elle crée des forges dans certaines écorces d’arbres pour y mettre des noisettes afin de les casser. Son chant fait penser aux anciennes machines à écrire ou au morse.
Un vol rapide de mésanges à longue queue attire notre attention.
Plus loin, dans des bosquets au bord de cultures, le Pouillot fitis lance son chant : on dirait qu’il se dégonfle.
Puis, dans le bois, un Autour des palombes en chasse, traverse le sentier devant nous à toute vitesse.
Nous arrivons de nouveau dans le centre du village où nous apercevons tous le 1er Martinet noir de l’année ! Comme les hirondelles, ils sont en avance d’une dizaine de jours !
Grande Aigrette
En redescendant vers le RAVeL, nous pouvons nous rendre compte du travail de fouilles d’un Pic noir dans l’écorce d’un arbre mort.
Puis un Grande Aigrette, perchée au sommet d’un très vieux saule, s’est laissé photographier par plusieurs d’entre nous.


Grive musicienne
La Grive musicienne, grande imitatrice nous a donné un concert lorsque nous revenions par le RAVeL.


Un petit tour à l’étang, nous a permis de voir le Foulque macroule, des canards et le Cygne tuberculé qui veillait sur sa femelle couvant non loin de nous.

Cygne tuberculé
A entendre tous les participants, ce fut une très jolie balade ; le beau temps et les oiseaux étaient bien au rendez-vous et les qualités pédagogiques de notre guide, Guy Denef, nous ont aidés à reconnaître un peu plus de chant d’oiseaux.

Un grand merci à lui.

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Réunion thématique Batraciens/Verger ce 19 avril 2019.

mercredi 24 avril 2019


Tout d’abord, la campagne des batraciens a été évoquée avec ses points positifs, négatifs et les rêves des « sauveteurs » !
Une campagne qui a démarré intensément et qui a été relativement rapide.
Enormément de crapauds, tritons palmés et même alpestres mais moins de grenouilles (rousses ou vertes). Ont-elles traversé plus tôt dans la saison ou à d’autres heures ?
Quant aux tritons ponctués, leur très grande diminution nous interpelle !
Nous nous souvenons que l’année passée, après une première série de passage, l’étang a gelé : le gel a peut-être nuit à certaines éclosions ? Mystère !
Cette campagne fut super positive grâce aux échanges de mails et aux nouveaux bénévoles actifs eux-aussi sur le terrain.
Campagne prochaine à organiser …dès maintenant. Càd :
Ajouter des barrières sur la route de Maredret.
Trouver des cônes, des lampes sécurisantes etc…pour avertir les automobilistes plusieurs dizaines de mètres avant les barrières : les ramasseurs ont besoin de protection, de sécurité ; les automobilistes doivent être avertis plus tôt afin d’avoir le temps de réaliser et de ralentir.
Trouver un local de stock pour y déposer tout le matériel nécessaire aux différentes campagnes et un local de réunion ?
Avec la Région Wallonne et/ou la Province :
Faire les démarches nécessaires pour avoir des barrières en « toile » ou « bâche » plus efficaces pour empêcher les tritons de grimper. Une partie a été testée par des membres du PCDN avec une toile style fibre de verre, servant à limiter la prolifération des racines de bambous. Elle s’est avérée efficace.
Etudier l’hypothèse de construction de 3 ou 4 crapauducs et les amener à traverser via des barrières bien installées et/ou
Etudier la possibilité de créer des portes amenant les batraciens dans des « bacs » dans lesquels ils pourraient tomber. Ces bacs, creusés sur les bords de route seraient protégés par des grilles et vidés régulièrement par les équipes de bénévoles : voilà 2 solutions qui méritent d’être étudiées pour la sécurité de tous et la biodiversité.
Bref, prendre contact pour l’année prochaine avec la Province et Région Wallonne.
Avant de terminer ce sujet, on a évoqué le « souper grenouilles » qui se fera la 1ère quinzaine de juin…

2ème thème de la réunion : Le verger de Bioul et ses travaux.
Finir les travaux actuels : la clôture des petits fruitiers.
Un contact est souhaité entre l‘Echevine des travaux, le chef des ouvriers menant la tondeuse au verger et les membres PCDN responsables du verger.
-          Pour la gestion du fauchage autour des couronnes des arbres et 1 bande sur 2 entre les arbres, les parcelles à ne pas tondre seraient délimitées par des fils et petits piquets. Ces parcelles seraient alternées au cours des saisons et/ou des années.
-          Des pierres (et gravats et terre) vont être acheminées à un endroit pour construire une spirale de plantes aromatiques. Avertir aussi les ouvriers communaux !
Si la commune a trop de pierres plates… (merci de les apporter au verger !), elles pourraient être utilisées pour la construction de la « Spirale aromatique » qui serait construite au cours des mois de septembre ou octobre au cours d’une journée … « festive ».
Y-a-plus-qu’à !
Si des bénévoles ont envie de se rendre utiles…ils peuvent déjà bloquer quelques WE à cette époque. La bonne date sera donnée en temps utile.
Quelques photos de plus dans l’album « Nos activités en images 2019 » (colonne de gauche).

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L’éveil des oiseaux

lundi 8 avril 2019

Cette année, la balade ornithologique « l’éveil des oiseaux » aura lieu le lundi 22 avril c’est-à-dire le lundi de Pâques.

 Le départ est fixé à 7h du matin sur l’aire de repos, à gauche et juste avant le restaurant « Les Marronniers », direction Maredsous, dans la vallée de la Molignée, à Warnant (Anhée).
Héron cendré et Buse variable
Fin de la balade prévue vers 10h.
Couple de Linottes mélodieuses





A l’écoute des chants de nos oiseaux dans un environnement varié (mare, bosquets, prairies…) tôt le matin, c’est le meilleur moment de la journée.

Les arbres n’auront pas encore toutes leurs feuilles et cela donnera peut-être l’occasion d’apercevoir certains oiseaux et de voir leur parade.
 
Rossignol philomèle


En collaboration avec les CNB, section Les Sittelles/ Haute-Meuse et le guide :
Guy Denef : 0475 81 12 79 ou denefguy@gmail.com

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Le Carnaval des oiseaux 2019

dimanche 7 avril 2019

Une soixantaine de personnes ont répondu à l’appel des oiseaux, des bibliothécaires et du PCDN le dimanche 31 mars dernier.

 Un franc succès pour cette 3ème édition du « Carnaval des oiseaux », une balade nature familiale des plus originales puisqu’elle est guidée par des ornithologues (Nicole et Sébastien, PCDN/Natagora) et par une conteuse (Julie, animatrice aux bibliothèques).

 D’entrée de jeu le ton a été donné avec une devinette : « Un porte-plume sur un portefeuille, qu’est-ce que c’est ? » (Réponse au bas de cet article).
Le public était donc invité à repérer, admirer et identifier les oiseaux mais aussi à prendre plaisir aux histoires et autres jeux de langage. 
Sittelle torchepot

En chemin vers le Mont d’Anhée, la sittelle torchepot nous a fait son numéro tête en bas et nous a épaté avec son art de façonner son nid à la manière d’un potier.
 La vue vers la forteresse de Poilvache, véritable « nid d’aigle », a quant à elle inspiré un premier conte à plumes !

Nid de Merle noir

Milan royal
 Ensuite, le parcours dans le domaine privé (aimablement rendu accessible) a offert l’agrément de ses vues vers les villages de la vallée, de ses haies bocagères propices aux nids (observation d’œufs de merlette !), de ses belles surprises tel ce survol d’un Milan royal majestueux !

Les premières Hirondelles rustiques, tout juste revenues d’Afrique (pratiquement en même temps que le pouillot véloce, également observé) ont fait parler d’elles (croyances et dictons) et c’est alors un extrait de la légende de Tristan et Iseult qui a été conté en chemin.

Puis, le retour s’est amorcé après une pause au pied du chêne au lieu-dit « Saint Antoine » et l’évocation des « oiseaux de malheur », les noires corneilles qui accompagnaient les habitants de Haut-Le-Wastia menant, par le Tienne des morts, leurs défunts se faire bénir à l’église de Senenne.

La balade s’est terminée autour d’un savoureux jus de pomme (issus des fruits du verger communal de Bioul) offert par le PCDN et par une consultation libre des nombreux ouvrages thématiques mis à disposition par les bibliothèques.
Un beau souvenir et un super partenariat !
                                          Julie Renson, animatrice aux bibliothèques communales d’Anhée et Denée

Solution de la devinette : Un oiseau sur une branche.

Liste des oiseaux vus et/ou entendus : ( cliquez sur le tableau ci-contre pour l’agrandir- ce qui est valable d’ailleurs pour toute photo dans le texte).

Bien entendu , toute activité se prépare. C’est ainsi que 10 jours auparavant avait lieu la reconnaissance du parcours : recherche des endroits propices aussi bien pour les contes que pour l’observation des oiseaux.

Quelques autres photos de cette reconnaissance et de la balade sont dans l’album « Nos activités en images 2019 »

Et, enfin, on en parla dans la presse quelques jours plus tard.
(L'Avenir du 3 avril 2019)
Si vous êtes intéressés par les oiseaux, une balade organisée par les CNB/Sittelles et le PCDN aura lieu le lundi de Pâques 22 avril à Warnant. Tous les détails très bientôt.

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Machine à canettes !

vendredi 5 avril 2019

Le projet pilote de reprise des canettes abandonnées dans la nature est désormais lancé aussi sur Anhée.
En effet, la machine automatisée, tant attendue, est arrivée ce jeudi 4 avril en fin de matinée.  Elle est placée à l’arrière de la maison communale, voir photo ci-contre.
 
Pendant 1 an, la commune d’Anhée testera le système de reprise automatisée pendant que la commune d’Yvoir teste la reprise manuelle auprès d’un préposé communal (effectif depuis novembre 2018). L’année suivante ce scénario sera alterné au sein de ce binôme.

Nous avons testé la machine !  Elle est très facile d’utilisation.
Un explicatif est repris sur le bas de la machine. 

En retour de 100 canettes ramassées dans l’espace public, un prime retour de 5 € sera octroyée, à faire valoir dans les commerces locaux des communes partenaires.
Pour information, un ticket s’imprime automatiquement dès que vous introduisez 25 canettes.  En deçà, vous devez réclamer le ticket via le bouton poussoir.
Sur le ticket, vous recevez un code à introduire par la suite via le site www.primeretour.be après identification.
Attention aux canettes refusées !  A ce sujet, nous avons remarqué que les canettes plutôt aplaties et introduites par leur ouverture sont moins refusées.
 
 A voir : d’autres photos sur la page Facebook de l’ADL ICI.

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