Bienvenue sur le blog du Plan Communal de Développement de la Nature.
Notre commune est riche en biodiversité! Il nous faut la maintenir et même l'augmenter, par nos actions, notre motivation...
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Les visages du PCDN

Beaucoup d’entre-vous souhaitaient mettre un « visage » sur les principaux acteurs du PCDN, responsables, membres actifs ou sympathisants. Certains acteurs préférant rester anonymes ou limiter les informations les concernant, cette liste est forcément incomplète mais sera actualisée au fil du temps et selon les désirs de chacun. Merci à tous pour leur travail, leur soutien, leur efficacité, ...Si vous souhaitez accéder à la Galerie de portraits, cliquez simplement sur le lien « Portraits », dans la colonne de gauche, sous la rubrique "Un peu de nous...".

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Migration 2017… c’est parti !

jeudi 23 février 2017

Par ce temps humide et doux, les grenouilles, crapauds et tritons commencent à montrer le bout de leur nez pour la migration. Tant que la température se maintient au dessus de 7° avec humidité, il y a du travail pour aider nos amis batraciens à traverser les routes. Avis aux bonnes volontés :  Tout le monde peut participer en offrant ne fut-ce qu’une soirée au ramassage.
 Contactez les responsables :
Pour Warnant :  Huguette Bonsir   hugbons@hotmail.com   0476/92 94 23

Pour Denée :      Sandrine Louis   sandrinelouis7@hotmail.com   0476/63.13.45
(un Doodle est déjà prêt pour ce site: Cliquez ICI )

 






Automobilistes : soyez prudents et vigilants : la vitesse est limitée à 30 Km/h. sur les tronçons concernés : il y va de la vie des ramasseurs bénévoles et des batraciens !



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Mi-février en Molignée

mardi 21 février 2017

 Climat printanier pour une balade nature ce samedi 18 février 2017.

Un rendez-vous qui a intéressé entre 35 et 40 amis de la nature qui, les fourmis dans les jambes, avaient envie de se reconnecter aux chants des oiseaux, au timide réveil de la nature.

Le rendez-vous que notre guide, Richard Bergen, avait donné était situé sur le parking de la Gare de Maredsous.
 Le programme consistait à regarder ce qui restait disponible pour les animaux en fin d’hiver, ce qui se préparait pour le début du printemps, que ce soit dans la vallée, sur le RAVeL ou sur le versant exposé au soleil de la Montagne de Sosoye (aussi appelée « Montagne de Ranzinelle »)
Le guide avait préparé sur le lieu de départ quelques plantes :

des baies du viorne obier qui ont besoin d’un gel avant d’être appréciées par les grives et autres oiseaux ;


 
des baies du lierre grimpant, plante excessivement précieuse pour la biodiversité car c’est une des dernières fleurs à la disposition des insectes avant l’hiver et qui possède des fruits, fin de l’hiver, quand la nourriture est rare pour les oiseaux ;

quelques baies d’aubépine, très rares à cette époque, ont résisté ; 

les chatons des noisetiers qui ont un pollen précieux pour les premiers insectes (pollen qui servira à féconder la fleur femelle d’un autre noisetier et pas de la plante sur lequel le chaton a poussé).


 L’aulne glutineux laissera partir ses fruits au fil de l’eau.

Rappelons aussi que les fruits des arbres servent à nourrir mais aussi à pérenniser l’espèce par les fruits ou graines non mangées qui vont germer ; que les fruits de la clématite des haies, grâce à son « duvet », peuvent essaimer très loin emmenés par le vent. Ce duvet peut aussi servir pour rendre les nids douillets ; 
que les feuilles des ronces sont appréciées par les chevreuils et les sangliers.
Le guide nous explique que les bourgeons, prêts à gonfler dès les beaux jours, sont protégés du gel en hiver par la « couverture » d’une espèce de cire.

La promenade a commencé sur le RAVeL de la Molignée : la rivière a environ 23 km de long alors que le tracé du rail a une longueur d’environ 15 km grâce aux travaux : construction des ponts et creusement dans la roche, au 18ème siècle, afin d’avoir une ligne plus rectiligne et une pente légère et régulière.
 
Ce qui a pour conséquence que certains pans rocheux n’ont jamais de soleil et que les plantes qui y poussent se contentent de l’humidité et de ce qu’elles trouvent entre les roches.
 Diverses fougères se développent, la plus connue est la scolopendre ou « langue de cerf ». 
On a pu aussi remarquer la formation du tuf (ou travertin) ici avec une couleur plus « rouge » que « ocre » sans doute par la présence de fer.
Il s’agit d’un phénomène géomorphologique assez rare : l’eau souterraine se charge de carbonate de calcium (CaCo3), puis, à l’air libre, le CO2 présent et dissous est consommé par les végétaux (mousses et algues) ce qui provoque une précipitation locale du calcaire qui se dépose sur les végétaux. Au cours des siècles, les dépôts forment une succession de gradins qui gardent la trace des végétaux engloutis. Promeneurs : respectez cet endroit, il faut plusieurs siècles pour le former (comme les stalactites dans les grottes !).
 
Le regard fut attiré aussi bien par la maladie qui décime les frênes en Europe : la Chalarose que par les champignons qui se développent sur les arbres morts.

En rejoignant la pelouse calcaire de Sosoye, on a pu admirer le vol (et le cri) de 5 Buses variables.

La pelouse calcaire possède une couche de terre très mince qui, jusqu’avant la guerre, convenait à l’élevage de moutons et de chèvres, ce qui empêchait la forêt de reprendre ses droits. 
C’était un « herdier » ou berger commun qui rassemblait tous les animaux du village, les emmenait paître et les ramenait le soir chez leurs propriétaires ; Il avait une « houlette » espèce de grand bâton terminé par une plaque de fer (ou mini bêche) qui lui permettait de déraciner de temps en temps un arbuste ou arbre naissant afin de garder le pâturage en état. Cette houlette servait aussi à décoller des mottes de terre et les lancer pour ramener les moutons trop éloignés ainsi que pour enfoncer, comme les pattes des animaux, les excréments dans le sol afin de garder une herbe de qualité suffisante.
Comme le marché de la laine s’est effondré à cause de l’importation de laine moins chère de Nouvelle Zélande, le « herdier » et les moutons ont disparu, les bois ont repris leur place et la pelouse calcaire a été envahie.

Constatant la disparition d’une biodiversité spécifique et très riche, l’homme a décidé de rétablir la pelouse calcaire et d’y permettre le retour d’une faune et flore spécifique : serpolet, persil des montagnes, différentes espèces d’orchidées, etc. puis insectes, papillons : on a eu la chance d’en voir un (la petite tortue), sans doute un des premiers vols au soleil de cet insecte qui a passé l’hiver sous forme d’imago (= adulte).
Des troupeaux de moutons et la fauche systématique aident maintenant à la conservation de ce site. Un petit tour sur cette pelouse calcaire nous a permis de se rendre compte que le prunellier ne demande qu’à se propager si on n’y prend garde.

 Le chêne pédonculé peut s’y développer : il y reste plus petit que ses congénères de la forêt car la terre est pauvre et donc les racines s’étendent en surface.

Quant au genévrier, assez rare, c’est un arbuste typique de ce biotope et il est protégé.

On a quitté la pelouse calcaire pour retrouver le village de Sosoye et la vallée de la Molignée.

On y a remarqué les traces bien visibles du Cincle plongeur (excréments sur cailloux ou sur des branches dans la rivière.) ainsi que la présence du Martin pêcheur que l’on n’a pas vu (le groupe était trop étendu) mais on a eu des explications sur la façon dont il avalait le poisson : tête la première et la façon dont il le présentait à ses jeunes pour qu’eux aussi l’avalent tête la première. Notons aussi que la présence de ces oiseaux est le signe d’une bonne qualité des eaux de la rivière.


Un dernier effort pour grimper un beau talus et rejoindre la RAVeL et terminer la journée par le verre de l’amitié à la Gare de Maredsous.

Un bien bel après-midi !
Texte et photos : ACh. Marlier

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Retenez déjà la date !

vendredi 17 février 2017


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Sauvons nos pollinisateurs !

Le projet SAPOLL initie la mise en place, avec les acteurs de Wallonie, de Flandre et du nord de la France, d'un plan d'action transfrontalier en faveur des pollinisateurs sauvages.
  • Ce plan d'action se veut l'initiateur d'actions en faveur des pollinisateurs, en apportant le contexte scientifique, didactique et appliqué nécessaire à chacun, qu'il s'agisse de citoyens, de décideurs, d'entrepreneurs ou de gestionnaires d'espaces. Il se veut aussi adapté au contexte régional de chaque versant. Co-construit avec les acteurs du territoire transfrontalier, le plan d'action expose les enjeux et objectifs pour la région transfrontalière, ainsi que les actions et tâches à mettre en place pour la sauvegarde des pollinisateurs.

Lorsque l’on aborde le sujet de la pollinisation des plantes à fleurs, la première espèce qui vient à l’esprit est l’abeille domestique, Apis mellifera. Cependant, ce projet s'intéresse à d'autres insectes sauvages, qui jouent également un rôle primordial dans la pollinisation des plantes à fleurs. Les trois groupes les plus efficaces dans le service écosystémique de pollinisation sont, par ordre d’importance, les abeilles sauvages (Hymenoptères Apoïdes), les syrphes (Diptères, groupe des « mouches ») et les papillons (Lépidoptères).


Les abeilles sauvages
On estime qu'il y a entre 350 et 400 espèces d'abeilles sauvages dans la région transfrontalière. Il s'agit d'espèces sociales (comme les bourdons) ou solitaires (qui élèvent seules leur progéniture). Elles se nourrissent essentiellement de pollen et de nectar et possèdent des structures spécialisées de récolte du pollen (brosses, corbeilles, soies plumeuses...) faisant d'elles d'excellents pollinisateurs.
Les syrphes
Les syrphes (ou Syrphidés) sont une famille de Diptères (mouches), distinguables des abeilles par leurs antennes courtes. Elles sont le plus souvent mimétiques de certaines espèces d’hyménoptères de par leurs formes et leurs couleurs. Beaucoup ressemblent ainsi à s’y méprendre aux abeilles sauvages. Les syrphes adultes se nourrissent essentiellement du nectar des fleurs, alors que leurs larves sont commensales ou souvent prédatrices

Les papillons
Les papillons (ou Lépidoptères) représentent sans doute les insectes pollinisateurs les plus connus et appréciés du grand public. Parmi eux on peut distinguer les papillons de jour (ou Rhopalocères), et les papillons dits de nuit, même si bon nombre d’entre eux butinent tout de même le jour. La caractéristique distinguant le plus les papillons des autres insectes pollinisateurs est leur trompe. Cet appendice buccal très long et agile est parfaitement adapté à la récolte du nectar des fleurs.

Et dans la presse :

(L'Avenir 02-02-2017)




Plus d’infos :


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Soirée Nature Natagora

jeudi 16 février 2017


La régionale Natagora entre Meuse et Lesse de Dinant -Ciney vous invite à sa 11ème soirée nature qui aura lieu cette fois au Théâtre Communal de Ciney, le 10 mars 2017.


Au programme : Conférence par Anthony Kolher, Vice-Président de Férus, LE RETOUR DU LOUP EN WALLONIE + film nature + expo photos animalière; stand nature et dégustation de produits artisanaux.


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Jolie promenade « Nature » autour de Warnant.

mercredi 8 février 2017

Guidée par Guy Denef, (Les Sittelles, CNB section Namur) 

 
Nous étions une douzaine, dont 3 membres du PCDN, sous un ciel un peu gris mais sans pluie. 


 

Cette promenade « généraliste » nous a fait découvrir un parcours fort intéressant et très varié aussi bien au point de vue géologique que botanique et ornithologique.

 
Quelques mots sur le sous-sol pour nous expliquer qu’en remontant à l’ère quaternaire, les différentes couches, conséquences des mouvements de la terre et des climats, expliquent la formation du paysage : nous sommes sur une bande de terre, le Condroz, qui provient de la  compression  entre la Hesbaye  et les Ardennes , ce qui a créé les beaux reliefs de rochers le long de la Meuse. (les roches y deviennent verticales).
 
Cela explique aussi les différentes couches qui constituent nos jardins : le schiste, le calcaire et la très fine couche de bonne terre, ce qui détermine aujourd’hui la qualité des sols et donc ce qu’ils produisent : en découlent évidemment la flore et la faune qui y vivent : tout est lié.
Quelques explications furent données sur les chemins empierrés dans les bois pour permettre aux charrois d'aller d'un village à l'autre et dont on peut voir les deux parties de la route affaissées sous le poids des roues. Ces chemins n'ont rien de voies romaines puisque celles-ci sont le plus souvent situées sur les hauteurs et sans dénivelé.

En botanique, bien que le printemps soit encore loin, certains bourgeons se gonflent et attendent le bon moment pour s’ouvrir. Les minuscules fleurs femelles des noisetiers montrent leur collerette rouge alors que les fleurs mâles allongées (chatons) sont déjà prêtes depuis longtemps.
Notre attention est attirée par les caractéristiques du peuplier tremble appelé ainsi car la feuille du tremble, dont le pétiole (tige) est très long et aplati, bouge davantage sous l'effet du vent que les feuilles à tige ronde. L ’écorce de son tronc est parsemée de petits losanges.
Le guide nous a parlé du fusain, bel arbuste qui, fin de l'été, nous montre son joli chapeau d'évêque aux couleurs vives (rouge, orange) et dont les branches donnent les fusains pour dessiner. 
Nous avons aussi vu les fruits de l’aulne appelés « strobile ».
 

Nous apprenons que le mélèze et le merisier sont 2 arbres de chez nous qui ont un bois « rouge », que le douglas possède des cônes avec une forme de langue de vipère et que ses aiguilles ont une odeur de citronnelle.

Timidement, quelques oiseaux nous ont accueillis par des cris ou un début de chant. (Certains doivent « s’exercer » avant de retrouver leur chant de parade du printemps).
 
Une cigogne blanche passe au-dessus de nous, cherchant une ascendance pour continuer son voyage.

En passant devant un énorme saule sur le RAVeL, nous constatons qu’il est squatté par le gui.

Le guide nous rappelle que la grive draine est le principal acteur de la propagation du gui et en profite pour nous parler d’autres grives : La grive litorne (de passage) que l’on voit souvent en compagnie des étourneaux, la grive mauvis, (de passage) qui possède la couleur mauve sous ses ailes, la grive musicienne qui enchante les bocages et peut avoir une série de chant répété 2 à 3 fois.
Le roitelet huppé, dans les épicéas, nous a fait une petite sérénade et le rouge-gorge, très territorial, défendant son domaine a, lui aussi, chanté pour affirmer sa présence.
C’est ainsi qu’on a appris que la femelle du rouge-gorge (qui lui ressemble) cache le rouge de sa poitrine sous son aile pour accéder au territoire du mâle, ne pas en être chassée et pouvoir s’accoupler.
Les mésanges bleues, charbonnières, nonnettes et boréales font des rondes pour chercher de la nourriture et lancent probablement des cris inaudibles pour les humains (ultra-sons) pour se donner des informations.
Une sitelle fait du « morse » dans un arbre. (Tac tac tatac tac …)
La mésange noire, surprise un jour non loin de son nid, donnera l’occasion au promeneur de l’entendre toutes les matinées au même endroit. Son chant est plus fluide que celui de la mésange charbonnière dont le chant est plus « piquant, sec »
La mésange boréale a un cri plus « grincheux ».


Quant au grimpereau, son cri se retient par un moyen mnémotechnique : une phrase dont voici le texte mais pas l’air : « Je monte au paradis »




 
Cette promenade a ensuite traversé « les Auges », pelouse calcaire, avant de retrouver la civilisation et de partager ses impressions autour d’un bon verre dans un petit bistrot local.
Bref beaucoup d'informations qui touchent tous les domaines, botanique, géologie, sociologie,.. et qui donnent envie de sortir de chez soi pour s'enrichir de l'échange des connaissances de tous les participants de ces promenades.
Nous espérons tous et toutes nous revoir pour une autre balade nature car on y apprend toujours quelque chose !
Texte : Fr. Dufaux et ACh. Marlier.                 Photos : ACh.et M. Marlier

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Invitation à la balade nature contée...

lundi 6 février 2017


Le samedi 04 mars à 15h00 au départ de la bibliothèque d'Anhée.

Une initiative des bibliothèques communales en partenariat avec le PCDN d'Anhée, en compagnie de Ludivine Jansens de la Ligue Royale belge pour la Protection des Oiseaux (LRBPO)
et de Julie Renson, conteuse.
Des contes pour tous, sous le chant mélodieux des oiseaux du Mont d'Anhée.

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Grand Nettoyage de Printemps 2017

vendredi 3 février 2017

La commune d’Anhée participera à la 3e édition du Grand Nettoyage de Printemps qui se déroulera les 24, 25 et 26 mars 2017 partout en Wallonie !
4 et 26 mars 2017 partout en Wallonie !
Bloquez votre agenda et inscrivez-vous !
Mobiliser les citoyens pour donner un coup d’éclat à leur rue, leur quartier, leur village, un parc ou un chemin de promenade en ramassant les déchets abandonnés :voilà l’objectif du Grand Nettoyage de Printemps ! Familles, amis, clubs sportifs, associations locales, mouvements de jeunesse, écoles, entreprises, …
Plus de 40.000 citoyens ont formé une équipe et participé au Grand Nettoyage de Printemps en avril dernier dans leur commune.
Vous souhaitez vous aussi enfiler vos gants pour votre cadre de vie ?
Dire adieu aux déchets sauvages qui jonchent nos espaces publics ? Constituez votre équipe et inscrivez-vous via le formulaire en ligne sur  Bewapp.be jusqu’au 15 mars 2017 à minuit. La Wallonie vous offrira un kit de nettoyage composé de gants, de gilets fluorescents et de sacs poubelles.
Plus d’info sur cette action en cliquant ICI.

Cette action de sensibilisation à la propreté publique a été lancée en 2015 à l’initiative du Ministre wallon de l’Environnement et s’inscrit dans le cadre du Plan d’actions de la Wallonie en faveur de la propreté publique et baptisé Be WaPP, pour une Wallonie Plus Propre.
 Détails et contacts : environnement@anhee.be ou 082/69 86 20.

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